Je suis de celles qui voudraient être celles-ci, avec leurs cheveux encore mouillés dans la voiture après l’effort, satisfaites de la séance accomplie.
Je suis de celles qui, tous les étés, se promettent de nager jusqu’à l’été suivant et qui, peut-être, cette année y parviendront. Car je savoure tous les étés le goût du sel, qui tire, qui porte et qui gratte.
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